Une architecture contemporaine et innovante au service de la recherche en santé
Le projet du CReSI est un véritable symbole pour ce lieu de mémoire de l’histoire hospitalière grenobloise : l’ancien hôpital pavillonnaire du début du siècle, devenu centre de formation, s’apprête à accueillir une plateforme collaborative d’innovation et de recherche en Santé.
Un programme fort sur l’inclusion de la recherche entre secteur public et privé, intégrant dans un même projet l’Université Grenoble Alpes, le CHU Grenoble Alpes, des startups et des volontaires pour promouvoir une recherche en santé intégrative de très haut niveau, dans la continuité de l’excellence de la recherche grenobloise.
Recherche fondamentale et clinique, modélisation des matériaux du et pour le vivant, imagerie, simulation et robotique médicale, analyse bio-informatique, médecine vasculaire… Les deux bâtiments de haute technicité sur près de 6 700m² sont dédiés à l’expérimentation et la recherche sur 3 axes principaux : les technologies pour la santé, les maladies chroniques et le vieillissement.
Les maîtres mots de notre conception : architecture contemporaine, esthétique innovante, évolutivité et choix constructifs responsables. Son architecture élancée en cœur d’îlot avec son porte-à-faux en ossature bois faisant léviter les étages, sa cafétéria largement vitrée sur le site et son couronnement aérien support de végétalisation.
Matériaux biosourcés et béton bas carbone
Le programme environnemental ambitieux est porté par nos équipes grâce à une conception bioclimatique, un choix des matériaux et une performance énergétique exemplaires (niveau E3C1) :️ compacité optimale de La Tourette, signal architectural et emblème écologique du CReSI grâce à sa façade bois et isolants biosourcés, confort d’été performant assuré, entre autres, par des centrales de traitement d’air adiabatique et du freecooling, forte isolation en fibre de bois, production photovoltaïque et raccordement au réseau de chaleur urbain de Grenoble (79 % d’énergies renouvelables et de récupération), matériaux biosourcés (20 dm3/m²), béton bas carbone et réemploi de pierres en soubassement.